- Henri Clouard, extrait de « Les Poètes et le néo-classicisme » in Revue Critique des Idées et des Livres n°148, 10 juin 1914, pp. 549-550 :
Barbe d’airain, béret, pèlerine : c’est Fagus. Sans jeu de mots, Fagus est un pèlerin sur les routes. Quelles routes ? Celles de l’inconnue terre promise… Tout le long, Fagus n’est pas sans colorer ses rêves avec le jus de la vigne, l’important étant d’entretenir l’illusion. Avec cela, de l’abondance et de l’ordre : de quoi construire. Déjà il nous avait donné Ixion, sorte de Guirlande des mois. Il mène aujourd’hui la Danse macabre avec son tourment, dans un paradoxal tourbillon de madones et de filles.