- Paul Guth, extrait de Histoire de la Littérature française, vol. 2 [Des orages romantiques à la grande guerre], Fayard, 1967, p. 699 :
Fagus (1872-1933), pseudonyme de Georges Faillet, appartient lui aussi à l’ordre des Frères verlainiens, que l’Eglise aurait du mal à reconnaître. Sous l’influence du sublime pochard, il transhume de l’anarchie aux fleurs de lys du royalisme et au catholicisme du temps des Croisades. Testament de ma vie première (1898), Ixion (1903), La Danse macabre (1920), La Guirlande à l’épousée (1921), Frère tranquille (1922), Clavecin (1926), Frère tranquille à Elseneur (1932), autant de poèmes du Moyen Âge transplantés sous la IIIe République.